15 avril 2008

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FENETRES SUR LE MONDE

Selon les préceptes libéraux dictés du matin au soir par les armées du bon sens populaire, il faut donc travailler pour « être ».

Ça se défend.

Ça aussi :

Travailler pour gagner sa vie, c’est se dépenser à la perdre.
S’enrichir, c’est ne rien faire.

Ce ne sont pas les grandes fortunes, apothéoses incarnées de la réussite libérale, qui me contrediront : eux et moi avons à quelques spécificités géographiques près le même emploi du temps. Le travail y occupe une très faible part.

Ne vous laissez pas influencer par les chroniqueurs radios des radios périphériques, payés deux SMIC par chronique à culpabiliser les chômeurs et leur présupposé « sentiment d’inutilité sociale » ! Ne pas travailler n’est pas une malédiction. Tout de dépend de qui on parle, de quel travail pour quelle somme on parle et surtout depuis où l’on parle.

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