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12 janvier 2024

Ils veulent du pain et une vie décente ? Donnez-leur des ministres à la con

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On va faire court sur ce remaniement ministériel de casting de télé-réalité de seconde zone. C'est de la merde. Mais ce n'est pas le plus grave, c'est comme ça depuis sept ans : au moins ça reste cohérent. 

Entre incompétence, déconnexion complète entre l'élite parisienne et les Français, trahisons double trahisons et sélection de fonds de tiroir parmi les seconds couteaux et les médiocres Renaissance-compatibles (euh quel obscure nul sans colonne vertébrale politique ni amour propre n'a pas encore été ministre de Macron de nos jours ?), Macron pave de façon assez inespérée ou catastrophique, selon les points de vue, la route pour le RN. 

On fout n'importe qui à l'éducation et on y rajoute le sport, on en est au moins au huitième ministre de la santé et tant qu'à faire, puisque c'est les soldes, on lui colle le ministère du travail. Les têtes de con passent, le fond reste : détruire tranquillement, sans précipitation, pièce par pièce, ces deux secteurs d'intérêt public (c'est la seule fiche de poste de ces pions interchangeables sur lesquels se paluchent depuis 72 heures les Bac+12 en suçage de boules des chaines d'infos). 

Entre le reprise de l'inflation, l'augmentation des prix de l'électricité, l'avalanche de faillites d'entreprise, le chômage qui repart à la hausse, comme les taux d'intérêt (oui on arrive à faire les deux) et ce joli gouvernement qui réussit l'exploit de mécontenter tout le monde (même si j'avoue que je savoure les larmes incrédules de la gauche castor au sujet de la nomination de Rachida Dati à la culture à la place de Rima Abdul-Malak, victime inattendue de Gérard Depardieu), ça va aller direct à la case fiasco et ça ne prendra pas un an. 

Même si d'ici là, on aura peut-être eu 2 ou 3 autres gouvernements pour occuper le temps d'antenne et de cerveau disponible



9 janvier 2024

Liaison Attal

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À la recherche désespérée d’un second souffle avant la branlée aux européennes, le conseiller clientèle a changé ses jouets. Fin du feuilleton du n-ème remaniement Macron en 7 ans avec la nomination de Gabriel Attal comme Premier ministre. 

Et c’est une bonne nouvelle ! 

Oh pas pour la France... Attal ou un autre n'y changeront rien. Il est entendu que tout part dans le fond de l’évier dans un pays paralysé par deux flocons de neige en hiver, mais un danger supplémentaire nous guettait : la popularité du gamin. 

Et oui, c’est incompréhensible mais ce couillon qui n’a jamais rien fait de ses dix doigts est leministre le plus populaire dans les sondages d’opinion. Tout chez ce fils à papa faisait de lui un présidentiable crédible (euh, oui en France) : sa jeunesse (même s’il a 164 ans dans la tête, ça fait « start-up » à gériatrique Land), sa sexualité assumée (la moindre critique passe pour de l’homophobie), son côté lisse comme une savonnette Palmolive (sa tête sur la couverture en papier glacé du Figaro magazine s’accorde à merveille avec le canapé Roche Bobois du salon d'hiver), ses réseaux parisiens, sa méconnaissance totale du monde de l’entreprise et du travail en général (un pré requis pour accéder aux plus hautes fonctions dans ce pays), sa virginité méprisante face à la cruelle réalité sociale des gens par-delà le Boulevard St-Germain et de leurs vulgaires contraintes budgétaires de fins et débuts de mois et, pour couronner le tout, un proeuropéanisme intégré de série dans son système d’exploitation (de droite, hein "les macronistes de gauche"). Quant à l’étoffe philosophique et culturelle du mec, soyons honnête, en comparaison Macron c’est Kierkeggard. 

Non, la vraie seule bonne nouvelle de cette promotion, je n’ose dire canapé, c’est qu’à trois ans de la présidentielle à laquelle il était un sérieux prétendant, Attal va être lessivé par son passage à Matignon (où, spoiler, il aura exactement la même pratique que Borne) et son capital sympathie va s'évaporer comme une tache de morve au soleil. 

 Je m'en réjouis d'avance !


Illustration : Damien, La Malédiction 2 (1978)

21 décembre 2023

Loi immigration : merci pour le spectacle !

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Mardi soir, j'ai assisté au joyeux pataquès de notre inénarrable classe politique pour accoucher dans la douleur à l’Assemblée d'une loi sur l’immigration avec la contribution surexposée des députés RN. Loi cosmétique qui sera rétorquée en deux-deux par le Conseil constitutionnel (à la demande même de Macron qui a commandé cette loi et voulait qu’elle passe avant noël). 

La veille, je savais qu'on entrait dans le domaine du bon gros comique en entendant Elisabeth Borne s'émouvoir que cette loi (qu'elle a voulu donc) permette de supprimer les APL aux étrangers. Marrant, ça n'avait pas l'air de l'émouvoir quand son chef les a rabotées pour tout le monde à commencer par les Français. 

Mercredi matin à la radio, au lendemain de cette nuit des seconds couteaux à l'Assemblée, chacun revendique une loi que personne n’assume d’avoir votée. Quant à la gauche, à l’image de Sandrine Rousseau partant en combustion spontanée dans les couloirs du Palais Bourbon à l’évocation du passage de la loi en éructant « extrême-droite ! extrême-droite ! » tous les deux mots, je bois du petit lait en regardant ces pantins déconnectés du souhait des français (qui sont, chez Elabe (pour BFM) 70% à  être satisfaits de la loi et chez Ipsos (pour le JDD) 71% à réclamer un texte plus ferme que ce truc mal ficelé selon les juristes. Tout le monde comprend que ce n'est pas le "bouclier" annoncé par Macron dans son SAV télévisé pour les retraités. Cette loi est d'abord une annonce symbolique destinée à envoyer un signe d'action aux divers électorats (et n'en déplaise aux élus de gauche, même dans leur propre électorat la question du contrôle des flux et des frontières divise fortement). 

À l’époque du Pass vaccinal (et sa création du jour au lendemain de millions de sous-citoyens de seconde classe) quand j’osais esquisser un rapprochement Pétain/Macron, je me prenais illico les leçons de morale  d’une large partie de la gauche (par ailleurs globalement silencieuse, voire collaborationniste pour une partie, sur la question). Quel étonnement de constater depuis le vote de la loi immigration, l'apparition des messages Pétain = Macron sur les réseaux de la part de cette « gauche castor » ! Des clowns qui eux aussi se pensent sincèrement du bon côté de la morale et de la politique et qui, rappelons-le, ont pour l’immense majorité voté, au moins, deux fois pour Macron. Dire qu'il aurait juste fallu que Macron décide alors de réserver le Pass vaccinal uniquement aux étrangers pour que nos humanistes se réveillent à l’époque... 

Car cette bataille pour voter un texte avec le RN en se défendant de le voter avec le RN aura au moins le mérite de recalibrer la gauche parlementaire sur son programme de base : « vous êtes tous des fascistes, les méchants-méchants ! » et de faire oublier leurs turpitudes sémantiques sur Israël et le Hamas. C’est toujours ça de rangé sous le tapis jusqu'au prochain attentat. Quant aux « macronistes » (il paraît qu'il en reste encore) qui s'estiment « trahis », je découvre qu’ils se pensaient de gauche. Ce qui en dit long sur leur distorsion de perception du réel. 

Pour le reste, j'ai le sentiment que les Français se contrefoutent de ces absurdes bisbilles de politiciens déconnectés, le Medef ayant sonné le matin même la fin de la récré sur Radio Classique :"l'économie demande massivement de l'immigration"). Cette instrumentalisation politique de l'immigration (sans réelle volonté d'agir est un épouvantail à moindre coût (on le voit dans les sondages cités, la satisfaction est majoritaire) et permet de continuer tranquille à ne rien changer aux désordres économiques, à la casse du service public et à une totale soumission à Bruxelles. Les prix de l’alimentaire continuent à augmenter, comme les tarifs de l’électricité et celui des assurances habitation ou des mutuelles santé, les faillites d’entreprises explosent, comme les cambriolages et les attaques au couteau au moindre propos. Mais comprenez-vous l’important pour nos politiques, c’est de "ne pas mélanger nos voix avec le RN" que l'on soit aveuglement contre ou que l'on rédige un texte de loi avec eux !

Bref, notre glorieuse classe politique vous envoie à l'avance ses meilleurs voeux pour 2024. Et qu'il s'agisse du contrôle des frontières comme de celui des prix : ce sera comme en 2023, mais en pire.

Allez, bonnes fêtes les amis et amies ! Et attention aux excès de confiance. 



13 décembre 2023

Deux ou trois choses sur la mise à mort de Depardieu

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Disclaimer (on ne sait jamais, vous êtes tellement sensibles) : Ce billet ne vise pas à défendre aveuglement Gérard Depardieu mais vise à dénoncer ces ayatollahs modernes qui, je le disais en déconnant il y a dix ans mais plus du tout maintenant, ont clairement l’intention de passer au sécateur tout porteur de couilles et de lessiver toute trace artistique de qu'ils auront défini comme déviant. 

Comme il est devenu l'homme à tuer du jour, je me suis donc tapé le visionnage du magazine Complément d’enquêtes titré la chute de l'ogre sur le comédien Gérard Depardieu. L'acteur fait l'objet de deux plaintes pour viol et agression sexuelle. Je ne me prononcerai pas sur les accusations, c’est à la justice de faire son boulot. Je vais être honnête, j’ai vu ce que j’appellerai un geste déplacé de l’acteur entre les prises sur un tournage (un gros tournage) il y a 30 ans de cela. Et quand je dis "déplacé", il l’était visiblement uniquement pour moi, puisque 1/ il ne s’en cachait pas 2 / la comédienne (en petite tenue) ne s’en plaignait pas et 3 / les 60 autres personnes présentes sur le plateau n’ont visiblement rien noté de gênant. Moi j’ai vite compris qu’il s’agissait là des us et coutumes du cinéma français qui avait une certaine légèreté de moeurs à l’époque. Pas seulement sur le sexe et ça dépassait le seul cas Depardieu. Et ça ne semblait ne perturber personne : ni le merveilleux monde de la profession, ni les chaines de télé, ni les journalistes. 

Alors oui, je pourrais dire moi aussi d’après ce que j’ai vu à cette époque :"Ah mais il n’y a pas de fumée sans feu et fatalement Depardieu un violeur". Sauf que… rien ne me le prouve pour le moment et surtout pas une émission de télé. Complément d’enquête part de témoignages poignants de comédiennes et fait des raccourcis en étayant son réquisitoire par des images volées d’un documentaire inédit de Yann Moix dont on ne sait au final pas grand-chose, ni de la réalisation ni des intentions. Depardieu y est dégueulasse, outrancier, sexualise une fillette… Oui. Est-ce écrit ? Est-ce lui ou est-ce un rôle, une improvisation ? On en sait strictement rien et le réalisateur de compléments d'enquête n’a même pas l’honnêteté de le préciser, nous prenant pour des cons juste bons à prendre ça pour argent comptant. Quant au terme "documentaire" si c'était synonyme de vérité ça se saurait. Si au début des années 90 les rushes volés de C’est arrivé près de chez vous avaient été diffusés selon le même principe dans un magazine d’information, Benoit Poelvoorde aurait d'abord eu une carrière judiciaire. Et quand bien même ces images montreraient "un Depardieu 100% dans sa vérité", si cela veut dire quelque chose, a-t-on le début d'une simple preuve avancée dans le cadre des plaintes déposées ? Non.

Mais bon, ce triste spectacle n’est pas bien grave comparé à ce qui se dessine depuis sur la même chaine. Suite à la diffusion de l'émission, France Télévision gèle toute diffusion de films avec Gérard Depardieu sur son antenne. Ah ouais quand même... Le type tourne comme un forcené dans tout et n’importe quoi depuis 50 ans, dans une filmographie qui va de Marguerite Duras à Kev Adams en passant par Ridley Scott et Claude Zidi et à lui seul il est devenu un des murs de porteurs de notre patrimoine culturel. Sur la base de témoignages et d’un procédé putassierplus proche de la presse people que du magazine d'investigation, puisqu’à ce jour rien n’est jugé et tout ça peut très bien finir en non-lieu, France TV s’octroie donc le droit de faire une croix sur les films dans lesquels Depardieu a joué. Au passage France TV, ayatollah révisionniste du jour ("partenaire cinéma privilégié" hier encore) chie sur le travail de milliers de comédiens, comédiennes et artisans du cinéma sans qui, selon la formule consacrée et tout autant que Depardieu : "ces films n’auraient pas été possibles"). 

Et si Depardieu est finalement reconnu coupable, devrait-on brûler tout ce à quoi il a participé ? 

Euh, c’est non. 

Si un jour on apprend du cousin du comptable de la belle soeur de De Vinci que le peintre était un peu cavalier avec les femmes, décrochera-t-on la Joconde des murs du Louvre ? Certes, je ne doute pas que l'on trouve des activistes pour tartiner la toile avec de la peinture et du sang en guise d'introduction au débat.

Le cas Depardieu est exemplaire de cette dérive d'épuration artistique car dans son cas « l’effacer » c’est littéralement détruire un demi-siècle de création. Mais si on suit cette pente-là (et malheureusement on la suit avec une pauvreté argumentaire hallucinante) dans très peu de temps, il n’y aura plus grand-chose à voir ni à lire au nom d’un monde meilleur où l'on va bien se faire chier.






29 novembre 2023

#Paris2024 Oh les jeux merdiques !

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En moins de 3 jours nous apprenons donc que le prix des transports en commun à Paris et Ile-De-France va doubler tout l'été pour les JO (de 2 semaines), qu'il sera interdit de circuler en voiture dans Paris et qu'il faudra un QR code pour juste y marcher. Tu m'étonnes qu'après avoir quitté sa propre ville (où elle ne peut plus circuler sans risquer de se faire cracher dessus) pour les beaux rivages tahitiens Anne Hidalgo ait déclaré quelques jours plus tôt quitter aussi X-Twitter.

Je passe sur le fait que cette la mairie de cette ville, qui est à peu près une des capitales les pires au monde pour la circulation des personnes à mobilité réduite, se targue d'organiser des jeux paralympiques en sus de cette déjà grotesque comédie ... On rêve. 

Après tout, Tokyo a bien organisé des JO sans public et le Qatar une coupe du monde de foot donc il y a des précédents dans le foutage de gueule à alibi populaire. Et le but, pas même secret des grosses entreprises qui rachètent progressivement tout Paris, est d'obtenir un Paris sans parisien. Donc tout cela est parfaitement raccord et ces jeux sont un apéritif en termes de tarif, de restrictions des libertés de circuler et de fichage. Paris est une fête, hein ? 

Bref j'espère de tout mon cœur que ces Jeux Olympiques de la Publicité seront un putain de fiasco mondial à la hauteur de la merde en barre qu'est devenue la ville de Paris. Cela me consolera un minimum pour les hausses d'impôts à venir. Car, à l'image de la Grèce dont les JO ont sonné le début de la fin économique, la fête des sponsors terminée et après avoir été empêchés de circuler tout un été, les locaux n'ont pas fini de payer pour cette connerie pseudo-sportive pour riches occidentaux oisifs.

Update 29.11 : On me fait remarquer justement que la hausse des tarifs des transports est de la responsabilité de la région Ile-de-France et de non de la mairie de Paris. Pour avoir fréquenté les uns et les autres, j'ai bien compris le discours en cas de contentieux. Je vous donne la recette magique : La ville "- Ouin, ouin, c'est la faute de la région", la région "- Ouin ouin, c'est la faute de la ville". En tout état de cause, Hidalgo a beau jeu de prétexter des raisons "idéologiques" pour d'abord esquiver l'énième shitstorm mérité qu'elle va prendre sur les réseaux sociaux avec ces JO. Quant à son intérêt pour le sport, on rappellera qu'elle a interdit la pratique du sport individuel dans les rues de la ville au nom de la "santé publique" durant le glorieux confinement d'avril 2020).


28 novembre 2023

Les leçons de vie de la France superficielle

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Dans les suites du meurtre du jeune Thomas à Crépol, nous sommes dans un intéressant moment d'inversion accusatoire. Et c’est assez rare pour être souligné : une partie des médias, le gouvernement et LFI sont alignés. 

Bientôt, au théâtre de la réalité alternative, les innocents seront les coupables et les meurtriers les victimes. Pour ces gens-là, le problème de ce pays ce n’est pas qu’on y tue des gens de plus en plus régulièrement au couteau, et on peut le craindre à Crépol - vu que c’est exprimé à la fois dans les témoignages et le communiqué du procureur -, pour leur couleur de peau bl

anche, non le problème c’est un fan de club de néonazis qui ferait peser un risque de "guerre civile" sur le pays. (Ce sont les termes employés). En décodé, La France superficielle nie à La France profonde le droit de ressentir ce qu’elle ressent et de craindre ce qu’elle craint. 

Au diapason de la doxa du Monde du jour, dans un grand moment de journalisme sur tabouret, Patrick Cohen sur France5 réussit presque à accuser le jeune Thomas de son propre meurtre et BFM titre désormais en boucle sur le péril brun (comprendre la poignée de vénères choppés l'autre soir dans leur commando de pieds nickelés armés de bâtons et qui ont voulu se venger de la mort du garçon). 

Ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit : je condamne avec la plus grande des fermetés les néo-nazis (t'as vu un peu le courage ?). C'est vrai, c'est pas bien. Enfin bon, j’ai rarement l'occasion d'en croiser au quotidien mais j’ai suivi quelques cours d’histoire (à la différence visiblement des militants de LFI).

Tiens puisqu’on parle de gens dangereux. Mélenchon lui est super content d’avoir enfin trouvé pire que lui avec ces néo-nazis du samedi soir (ouf il l’a échappé belle, il était à deux doigts de ne plus avoir de programme). Jean-Luc, qui n'a pas eu un mot d’empathie pour Thomas et ses proches, s’émeut lui aussi du péril brun et en enchaine six ou sept posts en une journée sur "les milices d’extreme-droite de toute l’Europe" qui auraient convergé à Romans-sur-Isére pour une vendetta (au bâton donc) tournant court à la première baffe. 

Darmanin, ministre de l’intérieur, du "dramignoble" et de l'action creuse, entre deux préparatifs de sa loi immigration (spoiler : il y aura encore + d’immigration et ce sera passé au 49.3) au lieu de traiter les causes, s'acharne à effacer au plus vite les conséquences de l’inefficacité de l’état à assurer la sécurité dans les quartiers, les villes mais aussi les campagnes. Etonnante inaction quand on connait la propension de ce ministre et des clones qui l’ont précédé à préventivement faire défoncer du manifestant contre la réforme des retraites et/ou à éborgner du gilet jaune. 

Au milieu, on félicitera le silence et la retenue (provisoire) des Français. Ils sont sommés comme à l’accoutumé par cette clique en orbite, non seulement de ne pas se plaindre de la situation qu'ils subissent (de l’inflation à l’insécurité), mais de ne surtout pas espérer un règlement de la dite situation par ceux qui l’ont construite avec constance et application, de réformes en aveuglements, depuis 40 ans.  

Non mes amis, notre vrai péril quotidien c’est 12 néo-nazis et la banquise qui fond. 




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